nouveautés livres juin 2024 – part. 3

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11 juin 2024 par biblistudio

Voici les derniers ouvrages acquis par la bibliothèque des cinémas Studio. Vous pourrez les emprunter dès aujourd’hui et/ou les consulter sur place.


Hallyuwood : le cinéma coréen de Bastian Meiresonne, édité par EPA – 2023, à la cote 791.739.51 MEI

Résumé : Parasite, Mademoiselle, Burning… autant de films qui, du fait de leur succès international, ont mis la lumière sur la production cinématographique coréenne et son incroyable diversité. Depuis ses prémices, quand des extraits filmés étaient diffusés lors de spectacles, au début du XXe siècle, jusqu’à l’engouement qu’il connaît aujourd’hui, le cinéma coréen a traversé des crises et des périodes de créativité superbes. S’inspirant d’ailleurs, inventant des genres et créant des esthétiques qui lui sont propres il est l’un des plus inventifs du monde. Cette monographie exceptionnelle propose une plongée dans l’histoire de la Corée et de son septième art, donnant des clefs pour la comprendre, et des envies de salles obscures.

Trois femmes disparaissent de Hélène Frappat, édité par Actes Sud – 2023, à la cote 791.434.2 HED

Résumé : Quand le cinéma et la vie s’allient pour fabriquer du romanesque féroce, l’œil de l’écrivaine s’allume. Qu’ont en commun Les Oiseaux, Marnie, Body Double, Working Girl, Le Bûcher des vanités et Cinquante nuances de Grey ? Autrement dit, deux indéboulonnables classiques d’Alfred Hitchcock, la bande image des années 1980 et le plus grand phénomène de porno-soft de notre époque ? Leurs héroïnes : Tippi Hedren, Melanie Griffith, Dakota Johnson, trois femmes activement disparues de mère en fille… Sur le mode d’une narrative non-fiction réinventée, Hélène Frappat signe une enquête arachnéenne sur le réel proprement surréaliste d’une lignée de stars hollywoodiennes maudites. Et nous fait *voir* comme jamais ce que nous avions pourtant sous les yeux *depuis le début*.

Une séance de cinéma avec Eddy de Nébine Dominguez & Charlotte Ameling, édité par Paja éditions – 2022, à la cote JP DOM

Résumé : « Aujourd’hui c’est samedi, et samedi soir, c’est soirée cinéma ! Alice est d’humeur joyeuse car elle adore le cinéma. Elle aime l’odeur des friandises, les lettres en néon et l’instant magique où les lumières s’éteignent et que le grand écran blanc s’illumine. Ses films préférés sont les westerns. Et plus ils sont vieux, plus elle les aime. Des affiches de John Wayne et Gary Cooper décorent son grenier aménagé en salle de cinéma. Chaque fois qu’un film commence, Maman fait son « Eddy » en se mettant dos à elle et en se retournant lentement : « Ce soir, on sauve un village des brigands » ! Steeve McQueen file éteindre la lumière et le film commence… L’aventure les amènera peut-être jusqu’au Mexique ? … non ? Qui sait ?… Déjà le matin… Mais que fait cet épi de maïs à côté de toi, petite Alice ? »

L’Aurore de Murnau de Joël Magny, édité par Cahiers du cinéma – 2005, à la cote 791.434.3 MUR

Résumé : En 1958, s’opposant à leurs aînés, des jeunes critiques consacrent L’Aurore comme « le plus beau film du monde ». Près d’un demi-siècle plus tard le film n’a rien perdu de son éclat ni de son aura. Dès la première vision, John Ford considérait L’Aurore comme « le plus grand film jamais produit ». De nos jours, Martin Scorsese ne cache pas son admiration pour ce film qui « offrait des visions, un paysage mental » et « avait pour ambition de peindre les désirs des personnages avec de la lumière et des ombres ». Quelles sont les raisons d’un destin aussi exceptionnel pour un film ? Jamais dans l’histoire du cinéma hollywoodien un réalisateur n’a bénéficié d’une telle liberté et de tels moyens. Frappé par Le Dernier des hommes (1924), William Fox fait venir le réalisateur à Hollywood et lui donne une « carte blanche » totale, dont Murnau n’hésitera pas à se servir pleinement.

Le sous-titre de L’Aurore est significatif : « A Song of Two Humans ». Une histoire d’amour universelle, dont les protagonistes sont à la fois des individus faits de chair, de sexe et de sentiments, élevés au rang de mythes universels. L’Aurore est moins un récit qu’un chant : un cinéma de poésie, aurait dit Pier Paolo Pasolini. Chaque séquence, chaque plan est marqué du sceau d’un véritable auteur, par un style fait de mouvements, de contrastes et de subtilités. Un style qui n’est en rien plaqué de l’extérieur, mais émane des personnages, du décor, de l’univers même.

Maman pleut des cordes de Hugo de Faucompret, édité par Les Films du Préau – 2021, à la cote 791.435.2 FAU

Résumé : Document pédagogique du film Maman pleut des cordes réalisé par Hugo de Faucompret. Jeanne, 8 ans, est une petite fille au caractère bien trempé. Sa mère, en revanche, traverse une dépression ; elle décide de se faire aider et doit envoyer sa fille passer les vacances de Noël chez sa Mémé Oignon. Jeanne part en traînant les pieds : à la campagne, il n’y a rien à faire, et la maison de Mémé pue l’oignon ! Pourtant, contre toute attente, les vacances s’avèrent être une véritable aventure.

Nina et le secret du hérisson : Artbook du film de Alain Gagnol & Jean-Loup Felicioli, édité par KMBO – 2023, à la cote 791.435.2 ROU

Résumé : Nina en est convaincue : il y a un trésor dans l’usine où travaillait son papa ! Mais un chien effrayant et son maître gardent les lieux, ça ne va pas être facile d’entrer là-dedans. Heureusement, Nina n’est pas seule. Avec Mehdi, son meilleur ami, elle va imaginer un plan incroyable ! Et un petit hérisson pourrait bien leur souffler quelques idées de génie.

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